Bonsoir
chers formateurs et chers frères. Dès le début de cette année, nous nous sommes
rencontrés dans cette maison dans le but de nous laisser former et de s’auto-former
humainement et spirituellement, en vue d’emboîter les pas de Jésus Christ notre
Seigneur. Alors cela n’était possible sans le dépouillement total de la part de
chacun de nous. C’est-à-dire nous avons accepté de sacrifier l’intérêt
particulier pour viser l’intérêt collectif. Frères, il nous faut dire un grand
merci au Seigneur car beaucoup de personnes ont voulu vivre dans ce même esprit,
mais le manque d’humilité, la folie des grandeurs et le manque d’amour ont été
une barrière à ce souhait. Donc que pourrions-nous dire au Seigneur si ce n’est
pas de lui rendre Grâce. C’est dans ce contexte que l’équipe du bienheureux
JEAN nous propose ce thème : « Ma bouche chantera la louange du
Seigneur » Ce passage traduit notre reconnaissance et notre gratitude
envers le Seigneur. Même si, au cours de l’année, la pandémie à covid-19 a
interrompu certaines de nos activités grâce à Dieu, nous voici presqu’au terme
de notre projet communautaire de cette année, au moyen duquel chacun a fait de
son mieux pour agrémenter notre vivre ensemble. Encourageons-nous les uns les
autres à aller de l’avant sans laisser nos regards fixés sur nos faiblesses ou
sur nos manquements. Durant toute l’année, nous avons vécu dans la fraternité,
et nous avons constaté cela à travers nos
engagements dans les services communautaires, le respect mutuel entre nous,
l’esprit de partage, l’obéissance et la liesse. Malgré les affluents de la vie,
ne nous lassons pas, tenons ferme jusqu’au bout quel que soit la situation.
C’est ainsi qu’un adage disait : « doux et amer vont
ensemble » Autrement dit, dans la vie, il y a des jours de joie et des jours
de tristesse. Enfin, nous nous demandons, Quel bienfait ai-je oublié ? Quelle
a été ma réaction face à un frère qui se réjouit des bienfaits du Seigneur dans
sa vie ? Que le Seigneur nous donne
la force nécessaire, afin de tenir bon jusqu’au bout de notre course. Amen
Nestor
TRAORE
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