Le Mardi 31 Mars 2020, nous avons eu une causerie sur le thème suivant : « Le Tout à tous et le coronavirus. Résilience en période de confinement ». Cette causerie nous a été transmise par le Père Yago. Pendant, la causerie nous avons expérimenté un jeu-débat, qui consistait à prendre position sur trois réalités de pensée différente. Ces pensées explorent trois différents points de vue sur la pandémie du Covid19.
En effet, il y a des personnes qui sont du même avis que le président Français Emmanuel MACRON, qui disait que : « Nous sommes en guerre » ; il y a les Écologistes, qui pensent que : « Nous sommes le problème » ; et il y a certains jeunes qui pensent carrément le contraire des deux pensées précédentes et qui disent que: « on s’en fou ». Le but du jeu-débat était que chaque groupe composé de trois personnes puissent défendre une pensée. On changeait les rôles à chaque dix minutes, ainsi de suite jusqu’à ce que chaque groupe expérimente les trois pensées.
En effet, il y a des personnes qui sont du même avis que le président Français Emmanuel MACRON, qui disait que : « Nous sommes en guerre » ; il y a les Écologistes, qui pensent que : « Nous sommes le problème » ; et il y a certains jeunes qui pensent carrément le contraire des deux pensées précédentes et qui disent que: « on s’en fou ». Le but du jeu-débat était que chaque groupe composé de trois personnes puissent défendre une pensée. On changeait les rôles à chaque dix minutes, ainsi de suite jusqu’à ce que chaque groupe expérimente les trois pensées. 
À la fin de ce jeu-débat nous avons eu le temps de partager le fruit de cet exercice. Les expériences étaient multiples et diversifiées. En effet, pour certains, ce jeu-débat, leur ont permis de découvrir la difficulté de défendre différents points de vue en l’espace de trente minutes. Et pour d’autres la difficulté résidait dans le fait qu’ils étaient à l’aise dans une pensée plus que dans les deux autres pensées. L’objectif de la causerie était de prendre davantage conscience de la situation actuelle du coronavirus, en explorant différents points de vue sur l´issue de cette pandémie. Aussi, de travailler à être des personnes résilientes en comprenant que même si souvent on a nos propres convictions, on peut aller au-delà d´elles pour explorer et d’accepter d’autres visions sur la problématique du coronavirus. Avec cette attitude flexible et accueillant nous réussirons à être davantage résilient. Alors, la résilience est la capacité de naviguer dans les torrents de la vie. Ainsi, pour être résilient, il faut être flexible et non rigide, car pour être « tout à tous » nous devons adopter une attitude accueillante qui reflet l’image de Christ ressuscité.
Dimitri LOMPO
